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FC + Crédits : Kristine Frøseth - Avatar (inconnu), gif hologramme (kisslater), gif (whumpstan)
Occupation : dame de compagnie de la reine de Naboo et conscrite de la chambre de diamant
Côté Cœur : célibataire, mais le coeur pris par les sentiments pour un jedi qui a flanché vers le côté sombre
C'est la colère sourde qui l'étreint quand elle laisse Caanan derrière elle, et qu'elle sort de l'hôpital pour rejoindre le palais.
Un sentiment mêlé à la souffrance.
Malgré la libération de leur amie, il n'y a pas grand chose qui puisse apaiser les esprits.
Et les actions de Caanan n'arrangent rien, la visite qu'elle vient de lui rendre à l'hôpital et les mots échangés n'ont fait qu'esquinter la plaie déjà béante de son coeur. Vanys pourtant se laisse rarement abattre et ses sentiments ne font qu'intensifier son envie de réagir. Elle ne perd pas de temps à errer parmi les couloirs, elle rejoint rapidement sa reine qu'elle pense être aux côtés de ses soeurs et qu'on lui signale rapidement être à la salle du trône.
La salle du trône est celle des audiences, la beauté et la luminosité de la pièce sont le reflet de celle de la planète, à la mesure de son prestige et de sa grandeur. Après avoir salué les gardes d'un hochement de tête, elle y monte les quelques marches qui conduisent au trône, qui précède une large fenêtre donnant sur l'avenue principale de Theed. Certains y voient l'arrogance des Naboo en ce déployement de richesses, mais Vanys n'est certainement pas de cet avis. Depuis plusieurs années maintenant, le palais est devenu sa demeure et elle en est fière.
Erys s'y trouve seule, indiquant que l'audience qui a eu lieu est déjà terminée, et Vanys se rapproche d'elle. La lueur déterminée qui anime ses pupilles ne trompera pas sa reine, qui la connait comme personne. Et que derrière cette façade, il n'y a que douleur et désarroi, mais qui sont loin de la mettre à terre, au contraire. Comme chacune des dames de compagnies, elle est forte face à l'adversité.
La force de l'habitude lui fait faire une rapide révèrence, mais l'envie de prendre les mains d'Erys, de laisser tomber les conventions, est plus forte que le protocole. Et elle lit au fond des yeux de sa reine et soeur la même souffrance, la même volonté de remuer étoiles et mondes pour récupérer les personnes chères à leurs yeux.
- Erys, la salue-t-elle, comment s'est passée ton audience ?
Elle lâche ses mains après un bref moment. Il y a une question muette qui ne passe pas ses lèvres, mais qui découle de la précédente. Est-ce que ça va ? Vanys écarte pour l'instant ses propres problèmes. Au lieu de cela elle s'inquiète pour sa reine. Elle qui doit porter le poids de la couronne, elle qui supporte la responsabilité de Naboo sur ses frêles mais fortes épaules. Elle qui brave toutes les tempêtes sans flancher, qui ne dort pas sans avoir passé la moindre de ses heures à prendre soin de sa planète.
- J'aurais du y assister, pardonne moi, continue-t-elle,. On m'a informée qu'il s'agissait d'un escadron républicain, celui d'Itzel ?
Penser à sa soeur lui crispe la mâchoire, mais le fait que ses sulbaternes soient là a de quoi éveiller son intérêt, et ce, malgré le fait qu'elle ne croit plus tellement en la république. La colère est encore là, mais au moins cette visite a de quoi la distraire, et également, de quoi la laisser se questionner.
Un sentiment mêlé à la souffrance.
Malgré la libération de leur amie, il n'y a pas grand chose qui puisse apaiser les esprits.
Et les actions de Caanan n'arrangent rien, la visite qu'elle vient de lui rendre à l'hôpital et les mots échangés n'ont fait qu'esquinter la plaie déjà béante de son coeur. Vanys pourtant se laisse rarement abattre et ses sentiments ne font qu'intensifier son envie de réagir. Elle ne perd pas de temps à errer parmi les couloirs, elle rejoint rapidement sa reine qu'elle pense être aux côtés de ses soeurs et qu'on lui signale rapidement être à la salle du trône.
La salle du trône est celle des audiences, la beauté et la luminosité de la pièce sont le reflet de celle de la planète, à la mesure de son prestige et de sa grandeur. Après avoir salué les gardes d'un hochement de tête, elle y monte les quelques marches qui conduisent au trône, qui précède une large fenêtre donnant sur l'avenue principale de Theed. Certains y voient l'arrogance des Naboo en ce déployement de richesses, mais Vanys n'est certainement pas de cet avis. Depuis plusieurs années maintenant, le palais est devenu sa demeure et elle en est fière.
Erys s'y trouve seule, indiquant que l'audience qui a eu lieu est déjà terminée, et Vanys se rapproche d'elle. La lueur déterminée qui anime ses pupilles ne trompera pas sa reine, qui la connait comme personne. Et que derrière cette façade, il n'y a que douleur et désarroi, mais qui sont loin de la mettre à terre, au contraire. Comme chacune des dames de compagnies, elle est forte face à l'adversité.
La force de l'habitude lui fait faire une rapide révèrence, mais l'envie de prendre les mains d'Erys, de laisser tomber les conventions, est plus forte que le protocole. Et elle lit au fond des yeux de sa reine et soeur la même souffrance, la même volonté de remuer étoiles et mondes pour récupérer les personnes chères à leurs yeux.
- Erys, la salue-t-elle, comment s'est passée ton audience ?
Elle lâche ses mains après un bref moment. Il y a une question muette qui ne passe pas ses lèvres, mais qui découle de la précédente. Est-ce que ça va ? Vanys écarte pour l'instant ses propres problèmes. Au lieu de cela elle s'inquiète pour sa reine. Elle qui doit porter le poids de la couronne, elle qui supporte la responsabilité de Naboo sur ses frêles mais fortes épaules. Elle qui brave toutes les tempêtes sans flancher, qui ne dort pas sans avoir passé la moindre de ses heures à prendre soin de sa planète.
- J'aurais du y assister, pardonne moi, continue-t-elle,. On m'a informée qu'il s'agissait d'un escadron républicain, celui d'Itzel ?
Penser à sa soeur lui crispe la mâchoire, mais le fait que ses sulbaternes soient là a de quoi éveiller son intérêt, et ce, malgré le fait qu'elle ne croit plus tellement en la république. La colère est encore là, mais au moins cette visite a de quoi la distraire, et également, de quoi la laisser se questionner.