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FC + Crédits : Joel Kinnaman (Lux)
Occupation : Mercenaire, va-t-en guerre et guerrier de renom
Côté Cœur : Sylens
Localisation : Où ses contrats le mènent, mais son QG est sur Tatooine
S'aventurant sans crainte dans les tréfonds de la Lune des Contrebandiers, Ira scanne les environs ; autant de son regard qu'à l'aide des outils intégrés à l'interface de son casque. Rien que son attitude est dissuasive, mais sa carrure, et son escorte ; une poignée d'hommes de main ; lui assurent une certaine tranquillité.
Il arrive enfin à sa destination ; un lieu d'échange et de rencontre. Le point idéal pour quémander des informations, ou plutôt, les monnayer. Et accessoirement, d'accepter des contrats. C'est ici même qu'il a pris contact avec l'instigateur du contrat qui lui a tant coûté. Et il compte bien lui rendre la monnaie de sa pièce.
Le videur de la cantina hésite un instant en le voyant arriver ; est-ce une bonne idée de laisser rentrer ces types, visiblement synonymes d'emmerdes ? Ou serait-ce plus sage, pour sa propre intégrité, de laisser filer ? Il décide de faire un pas sur le côté, en envoyant discrètement un petit avertissement à son patron.
Quand il rentre dans la salle, celle-ci est relativement calme. Une musique au rythme saccadé pulse depuis des enceintes qui grésillent, une fumée semi-épaisse et âcre occupe l'espace, une poignée de lascars jouent au carte, le pilier de bar est à sa place et la barmaid jauge sans ciller les nouveaux arrivants.
Sans dire un mot, Ira fait un signe à ses acolytes qui vont prendre une table, alors qu'il va se présenter au comptoir. Ses chaînes lui barrant le torse grincent sur le beskar, mais la mélodie se mêle plutôt bien au thème de la musique. Il s'assoie sans attendre à un des tabourets, et, conservant son casque, annonce simplement à la barmaid :
« Je suis à la recherche de quelqu'un.
- Quelle surprise, tiens. Si tu veux des infos, tu consommes ; politique de la maison »
Alors qu'il s'apprête à répondre, il se tait. Le bar est à nouveau silencieux, à l'exception de la musique, et, au même titre que tout le monde, il se tourne vers l'entrée.
Il arrive enfin à sa destination ; un lieu d'échange et de rencontre. Le point idéal pour quémander des informations, ou plutôt, les monnayer. Et accessoirement, d'accepter des contrats. C'est ici même qu'il a pris contact avec l'instigateur du contrat qui lui a tant coûté. Et il compte bien lui rendre la monnaie de sa pièce.
Le videur de la cantina hésite un instant en le voyant arriver ; est-ce une bonne idée de laisser rentrer ces types, visiblement synonymes d'emmerdes ? Ou serait-ce plus sage, pour sa propre intégrité, de laisser filer ? Il décide de faire un pas sur le côté, en envoyant discrètement un petit avertissement à son patron.
Quand il rentre dans la salle, celle-ci est relativement calme. Une musique au rythme saccadé pulse depuis des enceintes qui grésillent, une fumée semi-épaisse et âcre occupe l'espace, une poignée de lascars jouent au carte, le pilier de bar est à sa place et la barmaid jauge sans ciller les nouveaux arrivants.
Sans dire un mot, Ira fait un signe à ses acolytes qui vont prendre une table, alors qu'il va se présenter au comptoir. Ses chaînes lui barrant le torse grincent sur le beskar, mais la mélodie se mêle plutôt bien au thème de la musique. Il s'assoie sans attendre à un des tabourets, et, conservant son casque, annonce simplement à la barmaid :
« Je suis à la recherche de quelqu'un.
- Quelle surprise, tiens. Si tu veux des infos, tu consommes ; politique de la maison »
Alors qu'il s'apprête à répondre, il se tait. Le bar est à nouveau silencieux, à l'exception de la musique, et, au même titre que tout le monde, il se tourne vers l'entrée.