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FC + Crédits : Joel Kinnaman (Lux)
Occupation : Mercenaire, va-t-en guerre et guerrier de renom
Côté Cœur : Sylens
Localisation : Où ses contrats le mènent, mais son QG est sur Tatooine
Joel Kinnaman
Aptitudes
Chronologie
Plus tard dans l'année, une simple mission dégénère quand il réalise qu’il a été pris au piège. Ce n’est pas un contrat classique, mais une embuscade ; et, malgré ses efforts, il est fait capturer alors que son vaisseau est détruit et toute trace de son existence est effacée. Il est réduit en esclavage sur le Nébuleuse d’Ombre, un immense vaisseau qui parcours les confins des espaces civilisées pour acquérir et vendre sa précieuse marchandise d’esclaves. Mais son destin n’est pas d’être vendu ; il est brisé, puis poussé à sélectionner et entraîner les combattants les plus prometteurs pour des jeux sordides.
Le chaos. Celui de la bataille, du déferlement d’une violence exultée après des jours, des mois, et des années d’oppression. Cette violence n’a pas de nom, elle n’a pas de limite. Et, si Kryze appuie sur ce bouton, elle n’aura de fin quand l’un des groupes ne sera simplement plus. Mais, sans une once d’hésitation, il pose sa main et pousse. Une sirène retentit, alors que des bruits mécaniques couvrent ceux de la bataille. Toutes les portes s’ouvrent, et tous les esclaves sont libres. Ou, plutôt, ils ont le choix ; celui de se battre, ou celui de mourir.
Il s’appuie sur le comptoir et son regard se perd devant lui. Ce n’est pas la mêlée qu’il voit à travers la vitre blindée du pont sur lequel il se trouve qu’il voit, non. C’est ce pourquoi il en est arrivé là. Une flamme qui oscille entre le désir de violence et de liberté, et celui de revoir le visage d’un être qui lui est cher. Une mêlée qui n’est pas de corps et de sang mais de souvenirs et d’émotions.
Son visage, couvert de sang et d’entailles, est inexpressif, alors que son regard s’éteint peu à peu. Une main poisseuse vient se poser sur son épaule ; un rappel que cette insurrection n’est pas terminée, qu’elle ne fait que commencer. Et qu’il a un rôle à jouer.
________________________
Rassemblés dans une arène devenue un amphithéâtre, Ira vient de terminer son discours, et jauge l’assemblée qui lui fait face. Il a été bref, et direct. Ils sont libres. Qu’ils rentrent chez eux. Il a donné les différentes déposes du vaisseau, avant d’annoncer son cap final. Mais alors qu’une partie de la foule quitte silencieusement la pièce, une autre reste sur place, silencieuse.
Il les jauge, avant de rajouter en balayant l’air de son bras.
« C’est terminé. Partez. Cassez-vous, vous êtes libre !
Non » annonce une voix dont il ne peut déterminer l’origine.
Perplexe, il tourne la tête et continue de scruter tous ces visages devenus familiers pour la plupart. Un bruit de choc retentit ; alors qu’au premier rang, l’un de ses lieutenants commence à se taper le torse de son poing fermé. Le mouvement est repris par la foule, à l’unisson.
Par le sang, la sueur et la liberté, ces gens sont devenus les siens. Une armée d’esclaves, devenus warmongers, non pas parce qu’ils le devaient, mais parce qu’ils le voulaient.
Mais, peu importe pour Kryze. Il ne pense, à cet instant, qu’à retourner à Tatooine.
Il s’appuie sur le comptoir et son regard se perd devant lui. Ce n’est pas la mêlée qu’il voit à travers la vitre blindée du pont sur lequel il se trouve qu’il voit, non. C’est ce pourquoi il en est arrivé là. Une flamme qui oscille entre le désir de violence et de liberté, et celui de revoir le visage d’un être qui lui est cher. Une mêlée qui n’est pas de corps et de sang mais de souvenirs et d’émotions.
Son visage, couvert de sang et d’entailles, est inexpressif, alors que son regard s’éteint peu à peu. Une main poisseuse vient se poser sur son épaule ; un rappel que cette insurrection n’est pas terminée, qu’elle ne fait que commencer. Et qu’il a un rôle à jouer.
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Rassemblés dans une arène devenue un amphithéâtre, Ira vient de terminer son discours, et jauge l’assemblée qui lui fait face. Il a été bref, et direct. Ils sont libres. Qu’ils rentrent chez eux. Il a donné les différentes déposes du vaisseau, avant d’annoncer son cap final. Mais alors qu’une partie de la foule quitte silencieusement la pièce, une autre reste sur place, silencieuse.
Il les jauge, avant de rajouter en balayant l’air de son bras.
« C’est terminé. Partez. Cassez-vous, vous êtes libre !
Non » annonce une voix dont il ne peut déterminer l’origine.
Perplexe, il tourne la tête et continue de scruter tous ces visages devenus familiers pour la plupart. Un bruit de choc retentit ; alors qu’au premier rang, l’un de ses lieutenants commence à se taper le torse de son poing fermé. Le mouvement est repris par la foule, à l’unisson.
Par le sang, la sueur et la liberté, ces gens sont devenus les siens. Une armée d’esclaves, devenus warmongers, non pas parce qu’ils le devaient, mais parce qu’ils le voulaient.
Mais, peu importe pour Kryze. Il ne pense, à cet instant, qu’à retourner à Tatooine.